Entre Julien Acquefacques et le dessin, Lascension est emblématique et toujours bien dans cette veine sublime qui fait de Matthieu un grand homme du noir & blanc, les reflets et la maîtrise de la lumière sont là pour nous rappeler le talent et la simplicité maîtrisé à lextrême, sensibilité et regard introspectif sont là à nous rappeler que nous sommes les artisans de notre destin, visage illuminé, quête absolu, en nous elle se trouve et se sexprime aux regards des autres pour certains, devenons ce que nous sommes
Pour les autres récits de belles petites histoires qui permettent de relativiser et à la manière dun polar des situations entre autres hérités des Borges et autres, scènes impossibles ou in imaginées elles deviennent sous langle du réel triste pour certaines, profondes pour dautres ; toujours un regard de côté qui nous donne à nous interroger sur le devenir, notre devenir, les styles se confondent et se mêlent dans ces récites doutre temps
A lire et relire, toujours pour dénicher ce que lon a vu à la première lecture, une mine de détails